Nice-Matin (Menton)

HANDBALL Le Cavi’ s’incline sur le fil

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(Photo Eric Ottino)

Seine-et-Marne va tout changer. Un véritable trou noir et un 0-8 qui fait mal. Barrabas trouve des lucarnes, et il n’est pas le seul en forme à Pontault.

Même le gardien adverse, Alejandro Romero, marque en profitant d’une exclusion de Gaspari (10-14, 26’). Nice repart aux vestiaires avec cinq buts de retard, mais cela aurait pu être pire (1116). Il faut croire qu’Asier Antonio a trouvé les mots pour régler les maux de ses hommes.

« Un message pour les autres équipes »

Dix minutes exceptionn­elles dans l’entame du second acte, où l’on ne voit que le Cavigal. Un retard comblé, et les Niçois prennent même l’avantage par un Axel Oppedisano particuliè­rement performant (20-19, 44’). Pontault-Combault semble perdu et n’arrive plus à mettre son jeu en place. Les recherches de faute presque systématiq­ues ne fonctionne­nt pas. Seul Romero permet à son équipe de rester dans la rencontre. C’est pourtant du côté de Pontault que la chance va sourire. Rodrigues fusille Gudjonsson (27-28) à deux secondes de la fin. Ce revers met fin à la belle série du Cavigal. Axel Oppedisano trouve les mots justes après la rencontre : « C’est une frustratio­n que cela se joue à la dernière seconde. On fait un bon match. On manquait de lucidité en première période, mais on a corrigé ensuite. Personnell­ement, je me suis senti bien. Même si je rate le penalty qui nous aurait donné deux buts d’avance. Finalement, c’est un message aux autres équipes. On a montré qu’on était, une équipe difficile à battre ». Dijon que le Cavigal recevra vendredi à Pasteur est prévenu.

JULIEN DUEZ

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La défaite contre Pontault laisse d’immenses regrets.

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