Nice-Matin (Menton)

Cagnes : le nouveau conservato­ire au Val Fleuri est en constructi­on

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C’est l’un des gros morceaux de ce cru 2020 du côté de Cagnes-sur-Mer. Le nouveau conservato­ire, au Val Fleuri, est en constructi­on. L’ancien Pain d’Or a été rasé et la parcelle donnée.

« Je remercie le donateur du terrain qui est un Cagnois qui a voulu faire un geste à l’égard de la commune. Il nous a fait un don, ce qui nous permet de sortir le conservato­ire nouveau que j’avais promis », a expliqué Louis Nègre lors d’une interview [lire Nice-Matin 16 janvier]. Le projet comprend plusieurs entités. La première est le conservato­ire de musique, grand de 904 m2 avec « ses espaces verts et son parvis ».

 logements et deux espaces verts

Mais aussi 112 logements privés et sociaux dans un « bâtiment adossé à la colline boisée ». Avec, une moyenne surface d’alimentati­on bio au rez-de-chaussée. Le parking (214 places) à destinatio­n du public du conservato­ire mais aussi de la clientèle de la boutique et de quelques riverains sera en sous-sol. Seuls les deuxroues et les vélos pourront stationner sur un emplace- ment qui ne sera pas en sous-terrain.

Coût global : d’euros.

Le projet comprend également deux espaces verts. Dont un jardin public d’environ 31 millions 1 600 m2. « Derrière, il y aura une réserve foncière végétalisé­e, privée, qui dépendra de l’ensemble immobilier », a précisé le maire. Si tout va bien, la livraison du projet est prévue pour mi2022.

Des travaux en plusieurs étapes. Mais bonne nouvelle, il n’en reste plus que quelques-unes avant que le parc de la Tourre, à Carros, ne soit opérationn­el ! Plantation d’arbres, installati­on de candélabre­s automatiqu­es, des équipement­s sportifs... Le chantier devrait s’achever avant l’été. Initié sous la précédente mandature (avec Charles Scibetta), ce projet, situé derrière la salle

Ecovie et tout proche de la zone industriel­le, propose un espace de loisirs de 26 000 m2 avec des installati­ons sportives (paddle, skate-park, tir à l’arc...). Le nouveau maire, Yannick Bernard, avait été contraint de retarder quelques investisse­ments, notamment le paddle (80 000 euros), afin de« faire des économies et éponger un peu la dette de la commune ».

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