Financer ce projet

Pour mettre sur pied le projet Sismed, en quelques mois, le plus dur n’aura pas été de convaincre la communauté scientifique. « J’ai immédiatement contacté mes collègues, explique Mireille Laigle. Tous ont répondu présent. »

Il manque   euros La scientifique azuréenne égraine les laboratoires de recherche qui contribuent financièrement à ce programme de recherche : Géoazur et l’université de Nice bien sûr, mais aussi le CNRS, l’observatoire de la Côte d’Azur, l’institut Pierre-etMarie-Currie, l’ENS ou encore l’observatoire de physique du Globe. Même les Américains ont mis la main à la poche. Car évidemment de telles expéditions ont un prix : « rien que la location du navire coûte   $ par jour. » Le projet Sismed qui prévoyait d’ailleurs d’explorer également la faille Ligure qui menace les côtes azuréennes a dû y renoncer pour concentrer ses recherches en mer Égée. À condition de boucler le financement. Il manque encore   euros. Chacun d’entre nous peut y contribuer au travers d’une opération de financement participatif lancé par la fondation UNICE. Pour faire un don il suffit d’aller sur le site de la fondation http://fondationunice.org/