Nice-Matin (Nice Littoral et Vallées)

Les mendiants verbalisés au nom du Code de la route à Aulnay-sous-Bois

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La mairie Les Républicai­ns d’Aulnay-sousBois (Seine-Saint-Denis) a procédé en  à plus de  verbalisat­ions de mendiants en s’appuyant sur le Code de la route, qui permet de sanctionne­r les personnes traversant la chaussée hors des passages piétons. Au total, plus de  procès-verbaux ont été dressés à l’encontre de sans-abri roms et syriens postés, souvent avec des enfants en bas âge, au carrefour de l’Europe, un axe routier très fréquenté de cette commune de la banlieue nord de Paris. Cette « astuce » – le recours au Code de la route – a été utilisée après l’annulation par le tribunal administra­tif des arrêtés antimendic­ité agressifs pris par la ville, dirigée par Bruno Beschizza, en  et . « Notre cible, ce n’est pas la personne qui se tient sur le bord de la route avec un panneau, mais celle qui a un comporteme­nt gênant pour les automobili­stes et qui se met en danger en marchant ainsi sur la chaussée », a expliqué un proche du maire à l’Agence France Presse.

« le pouvoir de choisir les contribuab­les qui doivent ou non entrer dans le champ d’applicatio­n de l’impôt sur les sociétés ».

Automobile : rush sur les vignettes antipollut­ion

Alors que Paris a connu, hier, un nouveau pic de pollution, lutter contre ce phénomène apparaît de plus en plus urgent. Et il semblerait que les Français commencent à s’y mettre. En effet, selon RTL, mercredi le ministère de l’Écologie totalisait neuf cent cinquante mille demandes (sept cent mille particulie­rs et deux cent cinquante mille entreprise­s) de vignettes antipollut­ion pour véhicules, alors que fin novembre, seuls cent mille Français avaient leurs pastilles. Les commandes proviennen­t surtout de deux régions, l’Île-deFrance et Rhône-Alpes, ce qui paraît logique puisque seules trois villes s’apprêtent à instaurer le dispositif anti-pollution : Paris, Grenoble et Lyon.

Le tueur de la Drôme a fait un quatrième mort

Le tueur de la Drôme a fait une quatrième victime lors de sa cavale sanglante, après qu’une sexagénair­e, frappée sauvagemen­t à la tête lundi à coups de pierre, eut succombé, hier, à ses blessures. « Il s’agit désormais d’un quadruple meurtre », auquel s’ajoute une tentative d’homicide volontaire, a déclaré le procureur de la République de Valence, Alex Perrin, qui ouvrira, aujourd’hui, une informatio­n judiciaire et désignera deux experts psychiatre­s.

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