Comité de quartier : « Pas d’autre solution »

Combien y a-t-il d’adhérents

à l’ABCV () ? Les habitants de huit copropriétés ainsi qu’une soixantaine d’autres habitants du quartier, répond Chantal Bontoux, présidente du comité de quartier.

La majorité des habitants du Val-Fleuri ont demandé le stationnement payant ?

On a testé l’idée à deux assemblées générales successives. Quand il y a des problèmes dans le quartier, les gens viennent nous trouver. On n’a pas eu de remontées négatives. Les seuls qui nous ont contactés ce sont des enseignants. Ils voulaient que le parking près de l’école leur soit réservé. Le comité n’est pas d’accord pour le privatiser.

Pourquoi rendre le stationnement payant ?

Nous ne voyons pas comment faire autrement. On ne trouvait pas de places dans le quartier. En plus, le stationnement étant devenu payant dans d’autres secteurs de la ville, le Val-Fleuri devient une zone-refuge pour tous ceux qui ne veulent pas payer pour se garer. Et d’autres immeubles vont encore être construits. On défend la qualité de vie pour tous, pas que pour quelques-uns.

Et la pétition ?

On va être obligés de la prendre en compte. Mais il faut être sûr que les signataires habitent bien ou travaillent bien dans le quartier. Certains mettent en cause notre représentativité, mais il faut aussi que la pétition soit représentative.

Quelle solution?

Peut-être baisser le tarif. Et changer la règle qui ne prévoit qu’une place de parking par logement social. 1-Comité de quartier Association BréguièresCollettes-Val-Fleuri.