Nice-Matin (Nice Littoral et Vallées)
La « psychologie positive » arrive à Nice
Il a été confronté au pire avec l’attentat du juillet , étant alors maire de Nice. Aujourd’hui er adjoint de Christian Estrosi, Philippe Pradal expose les actions mises en oeuvre pour faire face à cette nouvelle crise.
Des messages « qui font du bien »
« À la demande du maire, nous allons mettre en oeuvre avec l’université de la « psychologie positive ». Chacun pourra s’inscrire sur une liste de diffusion et recevoir, tous les jours, un message élaboré par des psychologues professionnels. Leurs recommandations contribueront à maintenir la santé mentale : pratiquer une activité, lire un texte... Ces méthodes sont très utilisées aux Etats-Unis ou en Australie, pour les personnes qui ne se sentent pas bien. Même quand on va bien, un tel message peut faire plaisir : on a besoin d’informations qui font du bien ! »
Des appels pour garder le contact
« Les personnes déjà passées par la Maison d’accueil des victimes sont contactées. On leur demande comment elles vont, si elles sont isolées, si elles sont en contact avec un thérapeute... On trouve parmi elles des victimes du -Juillet, qui ont généralement un suivi médical fort. D’autres sont contactées par notre cellule d’écoute, qui a identifié les personnes vivant seules. En cas de besoin, un psychologue de la Ville ou du CCAS les appelle ensuite. »
Un numéro joignable en cas de besoin
« On peut appeler le standard Covid mis en place par la Ville pour faire état de fragilités psychologiques. Cette cellule n’a pas vocation à apporter que des réponses matérielles ». Contact j/, h- h : .....