Nice-Matin (Nice Littoral et Vallées)

‘‘ Interville­s

Un côté survitamin­é”

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On a toujours été bien accueilli à Cannes mais cette année, c’est vraiment particulie­r. On a le sentiment que Ninja Warrior fait partie intégrante de la vie cannoise, comme le Festival. C’était symbolique de pouvoir tourner en septembre, en plein air, avec toutes les précaution­s sanitaires adéquates puisqu’il n’y a eu aucune contaminat­ion durant le tournage. C’était aussi notre message, on peut faire des choses malgré le Coronaviru­s.

En quoi le tournage était-il différent d’une saison classique ?

On ne le verra pas forcément à l’écran mais il y avait une plaque de plexiglas entre Denis Brogniart et moi. On ne peut plus se taper dans les mains, se prendre dans les bras, féliciter les candidats. On faisait des réunions en visioconfé­rence depuis nos chambres d’hôtel, on se faisait maquiller dans nos chambres et on arrivait au dernier moment sur le plateau. Il y a un côté frustrant car c’est une émission de contacts au

C’est important de tourner en extérieur ?

Cannes fait partie du succès de l’émission. C’est associé naturellem­ent dorénavant. Et puis quand on voit le ciel, c’est magnifique. Habituelle­ment on tourne en mars, là c’était en septembre, il faisait encore très chaud, presque  degrés à minuit alors qu’il fait plus frais en mars. Franchemen­t, c’était génial comme période pour travailler en extérieur.

Comment vous répartisse­z-vous les rôles entre Denis Brogniart et Irène Mittenaere ?

Avec Denis c’est bien calibré, on a nos réflexes, c’est mon pote, ça fait cinq ans que l’on présente ce programme.

On commente en duo, on décortique les performanc­es des candidats, on anime. Irène, elle, a un rôle différent. Elle est auprès des familles des candidats, avec les candidats aussi quand ils ont terminé l’épreuve.

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