Saint-laurent reçu 5/5

Un début de championnat «canon»! Mais du côté de Pagnol, malgré un second succès convaincant, obtenu samedi soir face à Quimper (3-1), on veut rester focus sur l’objectif n° 1 du club : le maintien !

Carton plein

Le VBSL, après s’être imposé à Monaco lors de la journée inaugurale, a donc confirmé, ce week-end - et de fort belle manière. Face à une équipe de Quimper qui, à l’évidence, figure parmi les grosses écuries de ce championnat. « On avait bien préparé ce match, retrace Sacha Fomina. Mais, pour être complètement honnête, c’était sûrement le moment idéal pour les affronter puisqu’elles ont des joueuses qui ne sont toujours pas qualifiées. Maintenant, de notre côté, les consignes ont plutôt bien été respectées. Et on a eu aussi une qualité de service qui nous a permis de faire la différence dans les moments importants… »

Elle est top!

Indiscutablement, avoir recruté la passeuse Zoila La Rosa (ex-mougins) a permis de donner une toute nouvelle dimension à l’équipe du président Rémond. La

Péruvienne illumine le jeu laurentin et pourrait même être l’une des principales attractions de ce championnat…

Solidaires

La perte du deuxième set, et même les difficultés à conclure, sur le dernier, ont permis de mettre en exergue une évidence : à Saint-laurent, que ça fonctionne, ou non, on reste ensemble. Toujours ! « C’est un groupe qui vit bien, confirme la nouvelle coach du

VBSL. Et ça se ressent sur le terrain. Les joueuses sont toutes solidaires »…

À bosser…

Samedi, évidemment, tout n’a pas été parfait. « On doit sûrement être plus fort mentalement ». Car, même à 24-20, dans la dernière manche, les Laurentines ont réussi à se faire peur. Un scénario plutôt étrange. « On a eu de gros soucis au niveau de la réception, mais malgré tout, on est resté dans le match. Et ça, c’est quand même positif ! »

Mougins

Saint-laurent, dans 15 jours, ira défier Mougins, ancien pensionnaire de la LAF, et formation également toujours invaincue. Mais que Frédéric Pastorello, le président du MOM, ait pris la peine de venir « superviser » son futur adversaire n’a rien d’anodin. « Pour moi, qui étais encore là-bas la saison dernière aux côtés de Marie Tari, cela reste néanmoins un match comme un autre… »

Des laurentines ébouriffantes en ce début de saison…