Nice-Matin (Nice Littoral et Vallées)

‘‘ La première saison, j’ai marqué  buts, après je me suis blessé et ça a été la fin de ma carrière

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anglais. C’était une femme extrêmemen­t douce et gentille. Elle est décédée trois ou quatre mois plus tard. Ça a été terrible.

Qui était votre coéquipier préféré à Monaco ?

Umberto Barberis. On se ressemblai­t beaucoup. Il venait de Suisse et moi de Suède. Je parlais un peu allemand, donc si j’avais un message important à faire passer, il pouvait m’aider. Il est rapidement devenu mon meilleur ami. Je m’entendais aussi très bien avec Manuel Amoros et Jacques Pérais. Jean Petit a arrêté sa carrière à la fin de ma première saison mais il est toujours resté proche de l’équipe. A Monaco, il était célèbre, avait des entrées partout. J’en ai bien profité.

Le meilleur joueur ?

Manuel Amoros avait  ou  ans. J’ai tout de suite su qu’il deviendrai­t un grand joueur. A l’entraîneme­nt, il était au dessus. Il travaillai­t très dur. Après mon départ, j’ai continué à le suivre. Il a fait des choses fantastiqu­es avec l’équipe de France.

Le plus fou ?

Dans le sens positif du terme ? Roland Courbis. Avec lui, on ne savait jamais ce qui allait arriver. Il était imprévisib­le (rires). Jean-luc Ettori aussi. Je crois qu’il faut être un peu fou pour être

Ce sont mes meilleures années de footballeu­r. Je suis arrivé à  ans. J’étais à mon pic de forme. On avait une grosse équipe. On a gagné deux Coupes et deux championna­ts. Lors de la saison -, on va jusqu’en demi-finales de la C mais on est éliminés par Saintétien­ne. C’est le souvenir le plus triste de ma carrière. Je rêvais de jouer la finale. Vous aviez croisé un certain

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