Et si on n’en peut plus ?
Ne pas arriver à calmer les pleurs de son bébé fait parfois naître en nous un sentiment de culpabilité et l’impression d’être un mauvais parent ! On ne sait plus comment s’occuper de notre nourrisson, croyant mal faire. Il est important d’en parler avec le pédiatre, la sage-femme ou le médecin généraliste. Ils sont généralement très attentifs à la détresse des parents et peuvent nous orienter vers une structure d’aide en parentalité.