On lui donne le goût de l’effort
En revanche, on évite de le laisser vivre sur ses acquis. Peu habitué à produire des efforts, il risquerait d’être surpris lorsque les enseignements se compliqueront dans quelques années. En parallèle, « on le nourrit intellectuellement avec des activités culturelles. On le confronte à des difficultés pour lui donner le goût de l’effort », ajoute Jean-Luc Aubert. On l’incite à produire un travail plus abouti, plus documenté, plus soigné, à participer à diverses tâches… De quoi stimuler son brillant intellect ! l DOROTHÉE BLANCHETON *Sa chaîne Youtube “Questions de psy”