Il peut même le dessiner !
Le lendemain, à tête reposée, on peut lui proposer de dessiner ce qui lui a fait peur : sur le papier, c’est déjà beaucoup moins effrayant. Il peut même ridiculiser le “monstre” en lui mettant du rouge à lèvres et des boucles d’oreilles, ou d’affreux boutons sur le visage. On peut aussi l’aider à imaginer une fin joyeuse ou amusante à l’histoire.