FILLES : UNE CHARGE MENTALE DÈS 9 ANS ?
Pour savoir comment nos enfants s’adaptaient au premier confinement, Santé publique France a suivi près de 4 000 jeunes de 9 à 16 ans. Verdict: les filles ont en moyenne moins bien vécu cette période que les garçons, témoignant de plus d’angoisse et de tristesse. Plus d’un tiers a aussi souffert de troubles du sommeil. L’explication avancée: elles ont endossé une plus grande charge que leur.s frère.s au sein de la vie de famille. “Elles participaient déjà plus en temps normal, le confinement a accentué les inégalités de genre”, souligne l’agence.