On ne le surprotège pas
On préfère le garder avec nous de peur qu’il ne se retrouve seul en colo, qu’il ne tombe de vélo… C’est naturel de vouloir le protéger. Mais plus l’enfant est confronté à des situations nouvelles, à d’autres enfants, à d’autres personnes, plus il s’adapte à des fonctionnements différents », explique Florence Millot. Il développe ainsi ses facultés d’adaptation et peut se servir des expériences réussies pour en affronter de nouvelles. Petit à petit, il gagne en assurance.