ON FAIT QUOI ?
Inutile de se fâcher, au contraire : l’enfant qui a provoqué une bagarre a besoin d’être rassuré par un adulte empathique et bienveillant, mais cadrant. Il a besoin d’entendre qu’il n’est ni mauvais ni foncièrement violent et que, s’il n’a pas réussi aujourd’hui, il parviendra à se contrôler une autre fois. On dédramatise, mais on rappelle le cadre : on a les pensées que l’on veut, mais la violence est
interdite, qu’elle soit physique ou verbale.