Bien formuler les interdits
Exit les négations (non, ne… pas) qui appellent à la confrontation. On privilégie les formules positives: « Donne-moi la main dans la rue », « Tu peux jouer dehors pendant 30 minutes ». C’est un “non bénéfique” qui équivaut à un “oui”. On explique toujours le pourquoi de la règle, surtout au début car l’enfant a besoin de comprendre. En revanche, on évite les justifications interminables face à ces « petits avocats », comme les appelle Stephan Valentin. Et on ne s’excuse pas de poser un interdit !