« On se met à la place de l’enfant. »
« Ce qui me plaît dans l’éducation positive, c’est qu’on se met à la place de l’enfant. Il devient acteur de son développement et n’est pas seulement un “objet” à qui on impose notre façon de penser. On prend l’avis de Gaël en compte, on l’écoute et on répond à ses questions. En tant que parents, on se remet tous les jours en question. Mais parfois, les regards et les sous-entendus de l’entourage qui pense que nous sommes laxistes sont pesants. » s’il a pris Par exemple un vendredi des bonbons en manger alors qu’il peut le samedi, uniquement discutée avec la sanction, être l’enfant, peut en manger qu’il ne va pas le samedi.