Qu’est-ce que je fais ?
À la maison, on lui dit qu’on comprend bien ce qui se passe et qu’elle doit aller voir sa maîtresse quand ça arrive, recommande l’institutrice. Avec des mots simples, on lui rappelle que son corps et ses décisions lui appartiennent: « On n’a pas le droit de t’obliger à faire des choses que tu ne veux pas faire, et tu as le droit de ne pas avoir envie. »