On passe par des anecdotes.
Lorsqu’un enfant fait une bêtise, après l’avoir repris, on lui raconte celles que l’on faisait quand on était petit. On peut aussi lui confier des traits de caractère de ses grands-pères, oncles et tantes. On n’hésite pas à parler des qualités, mais aussi des défauts. C’est rassurant et déculpabilisant de savoir que personne n’est parfait.