Eh bien, ça ne serait pas qu’une histoire de culot (ou de grosse flemme),
mais une histoire de cerveau ! En effet, celui des mères se transforme dès le début de la grossesse sous l’effet des hormones féminines, pour développer l’empathie et se focaliser sur bébé : c’est le fameux « mommy brain ». Une réalité physiologique qui, malgré tous les changements culturels et l’implication des pères, n’est pas du tout aussi intense chez l’homme…
En attendant que la culture ait pris le pas sur la nature et modifié les centres cérébraux des papas (si, si, c’est en route !). On serait donc 66 % à se disputer régulièrement sur le sujet de cette gestion du sommeil.