D’un U qui veut dire Ultra

Trois disques UHD récents pour bien commencer sa collec. Et en attendant la 8K... ONCEUPONATIME… INHOLLYWOOD

Non, l’ultra-haute définition n’est pas que le royaume du cinéma numérique. La preuve avec cette rêverie 60s, tournée intégralement en pellicule, qui bénéficie à plein régime des vertus du support. La restitution impeccable du grain argentique donne de la chair à l’image, beaucoup plus qu’en simple HD, et l’étalonnage HDR rend particulièrement justice à la reconstitution méticuleuse de l’époque.

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Probablement l’édition qui aide le mieux à saisir que la révolution mise en place par l’UHD est plus une affaire d’étalonnage que de définition. Ici, c’est la gestion des couleurs, et les détails qu’elle vient révéler, qui fait toute la différence avec le Blu-ray. Ça vous paraît ressembler à du pinaillage ? C’est parce que vous n’avez pas acheté cette édition.

ANGELHEART

Très récemment, les éditions 4K sublimes d’Apocalypse Now, du Magicien d’Oz, de Scarface ou de Casino nous ont appris qu’il se passait enfin un truc entre le patrimoine et l’UHD. La plus épatante de toutes : le thriller bayou d’Alan Parker restauré et ré-étalonné de A à Z. C’est bien simple: si vous ne l’avez jamais vu comme ça, vous ne l’avez jamais vu.