À DÉFAUT DE VACHE, UN POTAGER...
« Si j’en avais la possibilité, j’aimerais élever une vache pour son lait et sa viande, mais c’est un autre métier », explique Xavier Isabal. En attendant, une cinquantaine de poules lui fournissent ses oeufs (25 à 30 par jour). Le potager derrière la maison procède de ce désir d’indépendance. « Les légumes sont le vrai luxe. On peut emporter du caviar jusque sur la lune, pas une tomate fraîche », philosophe-t-il.