Ian Hunter & The Rant Band

PROPER Forcément, il y a l’arbre qui cache un peu la forêt. Le baobab devant le bosquet. La chanson qui tue en deuxième position, un truc tombé des étoiles (noires ?), l’hommage de Ian Hunter à David Bowie. Cette “Dandy” composée au piano, au refrain plus glam que nature, dont les paroles, en rimes comac, relèguent au rang de texte de mode d’emploi d’appareil ménager traduit du coréen en français via l’allemand par Google Translator, les plus belles choses qui ont été écrites sur le créateur de “All The Young Dudes” depuis sa disparition — “Quialaissé leGeniesortirdelalampe (lamp) ?/ EtLittleLordFauntleroy,quil’a laissésortirdesonampli (amp) ?”. Leader en gueule, au début des