“Let’s Roll”
d’art et donc chaque titre et chaque chanson deviennent alors une “victoire,mêmeminime,mêmedérisoire, remportéeparl’art(etqui)équivautarithmétiquementà uneblessurepourlecampadverse”, la foisonnante moisson de quinze ans de musique qu’il relève et décrit dans ces pages n’a pourtant pas conjuré le sombre “blood sutra” de ce sale rendez-vous d’automne. Le mot de la fin et le seul enseignement de l’histoire reviennent peut-être à Sonic Youth qui dut littéralement épousseter son studio au pied des tours pour finir d’y enregistrer le pourtant serein “Murray Street” dont seules quelques lignes de “Tin Man” trahissent quand même l’expérience traumatisante du groupe : “Gatherfriends,gatherfear,gatheragain”.
I’m With The Band PAMELA DES BARRES