Drinks 6 AVRIL, POINT EPHEMERE (PARIS)
Une main dans la poche de son imperméable, l’autre sur le front, Cate Le Bon libère de douces vocalises aux accents étranges. Qu’attendre d’autre du groupe bizarroïde qu’elle forme avec Tim Presley de White Fence. Le concert part en free-jazz, puis oscille entre punk et twee-pop. L’espace de quelques instants, Le Bon s’effondre, tête sur la console. Rien ne semble prémédité, ni avoir réellement de sens. Sur un son de violon qu’on accorde, Presley crie, et réussit à faire sourire sa partenaire. AGNES BAYOU