Les Rats regagnent le navire
Hello, J+3 de ma nouvelle vie de confiné, et mes angoisses existentielles sont rassurées, mon Rock&Folk du mois est bien dans la boîte aux lettres, fidèle compagnon de réclusion. Dans la chronique d’Olivier Cachin sur le nouvel album des Boomtown Rats, une phrase retient mon oeil : “‘Rat Trap’, meilleure chanson écrite sur le désespoir de la
jeunesse” et tout revient d’un bloc : les heures passées à user ce deuxième album des Rats dans ma chambre adolescente, la voix rageuse de Geldof, le souffle du saxophone, et ces paroles qui restent gravées de manière indélébile dans ma mémoire, même quarante ans après... Une bouffée de souvenirs que la patine du temps rend heureux et sans nostalgie... La magie de la puissance évocatrice des mots et de la musique reste intacte : merci pour cette petite parenthèse ! TONTON JC