“Three Snakes And One Charm”
(1996)
Les influences s’élargissent encore et lorgnent vers la pop psyché (“Evil Eye”), le P-funk (“(Only) Halfway To Everywhere”, réussite éclatante) ou le folk british. Davantage une collection de moments qu’un voyage en soi, et une attitude moins frondeuse, mais l’écriture et le groove de l’ensemble (“Blackberry”) restent impressionnants.