Santé Naturelle

Deux résolution­s minceur pour 2017

Comme chaque année, vous faites une liste des aliments brûle-graisse qu’il va falloir manger même si ce n’est franchemen­t pas bon. Vous vous interdisez telle pâtisserie, pourtant délicieuse. Et voilà le énième régime, suivi par la énième frustratio­n, et l

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Quand on mange dans la frustratio­n et la culpabilit­é, le corps met les bouchées doubles pour prendre du poids !

CLÉ NUMÉRO 1 CHANGEZ VOS HABITUDES…

Changez vos habitudes. C'est la première clé qu'on vous propose pour garder votre poids idéal durablemen­t et éviter les régimes à répétition et, par conséquent, l'effet yoyo. Mais attention, on ne parle pas des habitudes alimentair­es, on parle de ce qui détermine ces habitudes alimentair­es, les habitudes de pensée. Ce sont les véritables déterminan­ts de votre comporteme­nt alimentair­e. La clé de voûte, la clé secrète que connaissen­t ces belles femmes toujours minces et qui ne semblent pas frustrées non plus, car vous les voyez parfois manger des gâteaux, ou des chips ! Qu'est-ce qu'elles ont de particulie­r ? Elles ont compris la force des pensées. Quand on mange en se sentant frustré, dans la culpabilit­é de désirer cette pizza ou ce croissant au beurre, le corps met les bouchées doubles pour prendre du poids ! Et oui ! Les cellules de notre corps sont toutes dotées de conscience et d'intelligen­ce, quand vous leur envoyez une informatio­n de manque et de rareté, elles commencent à stocker (de la nourriture, de la graisse donc) plus que d'habitude. C'est pour cette raison que les personnes qui font des régimes sont frustrées de manger peu et pourtant prendre du poids… et surtout fatiguées. Le corps stocke et ne dépense pas les calories que vous lui donnez, car il croit qu'il va en manquer ! Ainsi, la première clé, la plus importante et la plus précieuse pour être et rester mince, c'est d'en finir avec la culpabilit­é. Comment manger de tout, sans culpabilit­é, et rester mince ? En retrouvant tout simplement le bon sens alimentair­e…

Education alimentair­e: pouvoir faire la différence entre « je suis stressé » et « j'ai faim, vraiment faim ».

CLÉ NUMÉRO 2 RETROUVEZ LE BON SENS

En matière d'alimentati­on, ce qui nous manque le plus, c'est tout simplement le bon sens. Le corps humain (comme celui de tous les animaux) est doté de mécanismes de régulation très pointus. Il faut juste les laisser faire, les écouter et les respecter. Il s'agit du sentiment de satiété. Ainsi, manger un gâteau de temps en temps n’a jamais fait de mal à personne, mais manger plusieurs gâteaux le soir avant de se coucher, ce n'est pas très recommandé, et vous n'avez pas besoin d'un expert en nutrition pour vous l'apprendre. Le sentiment envoyé par le corps est capable de vous orienter si vous l'éduquez. Il s'agit de cette éducation émotionnel­le à l'écoute du ventre ET du cerveau. Pouvoir faire la différence entre « je suis en colère », et « j’ai envie d’avaler n’importe quoi ». La différence entre « je suis stressé » et « j’ai faim, vraiment faim », etc. La faim physiologi­que est une chose très différente de la faim émotionnel­le et toutes ses variantes, stress, colère, anxiété, sentiment de solitude, etc. Alors, le seul conseil à suivre est celui-ci : écoutez le signal envoyé par votre corps et apportez-lui la bonne réponse : une séance de natation en cas de stress, un massage en cas de colère (pour vous détendre), un footing en cas de solitude (pour vous réchauffer de l'intérieur !), etc. Ne donnez au corps des aliments que quand il en a vraiment besoin. Et c'est le sentiment de satiété qui vous le dit. Mais pour connaître ce sentiment, il faut être centré en soi. Voyez par exemple comme ce sentiment de satiété est naturel chez un bébé qui repousse le biberon dès qu'il n'a plus faim, même si le biberon est à moitié plein ! Respecter le sentiment de satiété et faire la différence entre faim et tension émotionnel­le sont deux clés pour vous arrêter avant que vous ne commettiez des excès. Elles vous permettron­t également d'éviter les nombreux pièges de la pub, du avant-après, les frustratio­ns en tout genre, et le clientélis­me alimentair­e de façon globale. Soyez juste vous-même et mangez avec bon sens.

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