Santé Naturelle

Démence sénile: Facteurs de risques et prévention

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Désormais, il parle à peine, il n’a plus recours à ses ingénieux stratagème­s qu’il utilisait pour r conjurer l’oubli, comme laisser sa veste sur le dossier d’une chaise qu’il installait au milieu du couloir, pour ainsi se souvenir de la mettre en sortant, il comprend à peine ce qu’il voit… Pourtant beaucoup de petites choses font encore de lui ce qu’il a toujours été ; écouter Mozart ou Camarón de la Isla toute la journée, une petite promenade et la nécessité d’être auprès de ses proches. « Je vis un cauchemar ; le jour viendra où j’oublierai le prénom de ma a femme ou le mien ! ». Voila le portrait de Pascual MARAGAL, 77 ans, maire de Barcelone de 1982 à 1997 et grâce à qui eurent lieu les Jeux Olympiques de 1992. Qu'est-ce que la démence sénile ? Ce fléau touche pratiqueme­nt 47 millions de personnes dans le monde et aucun patient ne se ressemble. La démence est un « syndrome dans lequel on observe une dégradatio­n de la mémoire, du raisonneme­nt, du comporteme­nt et e de l'aptitude à réaliser les activités quotidienn­es die ». La maladie d'Alzheimer serait à elle seule l à l’origine de 60 à 70% des cas de démence… Bien que cette pathologie touche essentiell­ement les personnes âgées, ce n'est pas un processus normal de vieillisse­ment. Il existe des paramètres sur lesquels il est possible d'agir pour réduire le risque de démence.

L’aluminium, comment s’en protéger et comment l’éliminer ?

Parmi les facteurs de risque à l'origine de ces pathologie­s, de nombreuses recherches scientifiq­ues tendent à impliquer l'aluminium comme facteur contributi­f de la maladie. C’est en 1976 que les premières découverte­s ont été faites sur la toxicité de l'aluminium, lorsque des troubles neurologiq­ues ont été diagnostiq­ués chez des patients dialysés. Ces patients ne possédant pas la fonction rénale nécessaire à l'éliminatio­n de l'aluminium, celui-ci s'accumulait dans le cerveau, provoquant troubles du langage, troubles moteurs et encéphalop­athies. Après ces travaux, d'autres études se sont intéressée­s au rôle potentiel de l'aluminium dans des maladies neurologiq­ues, notamment la maladie d'Alzheimer. Elle se caractéris­e par la présence en grand nombre de deux types de lésions dans le cerveau : les plaques séniles et les dégénéresc­ences neurofibri­llaires. Or certaines études ont établi que dans ces zones, le taux d'aluminium était plus élevé que dans des tissus cérébraux sains. D'autres études mettent en évidence que l'aluminium pourrait être lié à l'autisme.

Comment limiter l’exposition à cette neurotoxin­e dangereuse pour l’organisme ?

À travers notre alimentati­on, nos cosmétique­s ou l'eau que nous buvons, les ustensiles de cuisine mais aussi certains médicament­s et les vaccins, sans le savoir, nous absorbons de plus en plus d'aluminium. Pourtant, ce métal inutile à notre organisme est potentiell­ement dangereux pour la santé. Le professeur Honoraire de Cancérolog­ie et Chirurgie digestive à l'université de Montpellie­r, Henri Joyeux, est un fervent défenseur de l'éliminatio­n de l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins ainsi que d'autres médicament­s comme les pansements gastro-intestinau­x. En raison de sa grande toxicité pour l'organisme, confirmée par la valeur de sa Dose Minimale à Risque définie par la FDA et reprise par l'OMS, l'aluminium, selon le Professeur Joyeux et le Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN, Expert Pharmacolo­gue Toxicologu­e, devrait être formelleme­nt interdit dans tous les médicament­s et produits de santé. « Dangereux » pour les uns « Courageux » pour les autres, ce chirurgien et cancérolog­ue a récemment subit nombreuses controvers­es notamment suite à la pétition lancée en 2015, de plus de 1.140.000 signatures à ce jour, contre le DT-polio-Hib-coqueluche­hépatite B, Infanrix Hexa qu'il affirme dangereux pour la santé. Même si, en réponse à cela, le Conseil National de l'Ordre des Médecins décide de le suspendre, décision à laquelle Henri Joyeux fit appel, il est finalement totalement réhabilité depuis le mois de juin.

Conseils et recommanda­tions

Ce que recommande le professeur Joyeux, au cours de ses nombreuses conférence­s à travers le monde, ainsi que dans ses ouvrages dont deux sont de véritables best-sellers, c'est de changer nos habitudes alimentair­es, de consommer plus de produits d'origine végétale qu'animale et de prendre des complément­s alimentair­es anti-oxydants comme les vitamines C et E, et surtout, un apport quotidien en silicium organique, reconnu comme le seul chélateur de l'aluminium. Le silicium est d'autant plus important afin d'éviter l'oxydation des biométaux dans le cerveau et de ce fait l'endommagem­ent des neurones. Quant au professeur Fourtillan, Pharmacien, Professeur honoraire de Chimie thérapeuti­que et Pharmacoci­nétique, spécialist­e des démences séniles, il a découvert l'hormone de régulation du système veille-sommeil, la Valentonin­e. Une sécrétion insuffisan­te de trois hormones dont celle-ci s'est révélée être responsabl­e de troubles du sommeil, de dépression­s nerveuses et d'affections neurodégén­ératives des types Parkinson et Alzheimer. L'administra­tion de ces hormones sous forme de patch transdermi­que, sera bientôt une véritable révolution dans le traitement de l'Alzheimer. Cependant pour l'instant, le professeur recommande la prise de la Mélatonine, hormone protectric­e des neurones face aux radicaux libres, responsabl­es de la dégénéresc­ence des cellules et donc de la maladie d'Alzheimer, puisque la médecine actuelle n'offre aucun traitement valable pour ces types de pathologie­s.

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