Theo Hernandez

Note: 14/20 Tatouages: 4/5 Gendre-idéalisme: 2/5

Quotient “non-sélection surprise”: 2,5/5

On a toujours eu un faible pour les histoires de frangins, des Karamazov (un peu chiants mais hyper positifs en termes de crédibilité sociale) aux Dardenne (rassurant de savoir qu’il existe des endroits pluvieux où les gens sont plus malheureux que vous), en passant par les Tang (magnifique enseigne de grande distribution asiatique) ; on attendait donc fébrilement, comme Theo lui-même, ce fameux “coup de fil”, qui l’emmènerait à l’Euro. Las, probablement rassuré à l’idée de n’avoir qu’un prénom à retenir pour le poste, Didier lui a préféré deux Lucas, Digne et Hernandez. Un coup dur pour Theo, qui se voit contraint à un nouvel été “photos de tatouages et yacht de bâtard”, et un gros pari pour DD, qui se prive là d’un solide Balance deuxième décan (Domenech n’aurait jamais osé), d’un sourire de dingue bien utile en conf’ de presse, et de nombreux avantages pratiques liés à la fraternité (flocages quasi identiques donc plus rapides, chambre commune, possibilité d’appeler les deux d’un succinct “hep, les frangins!” ou encore trucage de la feuille de match par occultation des prénoms). Dommage.

Quel été pour ce joueur? En pente douce, entre Instagram et Miami.