Résumé de l’épisode précédent
Sam’s n’aime pas les appels masqués. Franck Sauzée a déjà obtenu un 10 dans L’Équipe. Dernièrement, Tim Sparv a chroniqué l’essai d’une journaliste finlandaise sur Poutine et la société russe. Loïc Nego apprécie le goulasch, mais à petites doses. Le responsable du recrutement du FC Nantes, Matthieu Bideau, est plutôt du genre couche-tôt. Ange Postecoglou,
ancien sélectionneur de l’Australie, a passé les premières années de sa vie en Grèce. Aleksander Ceferin a traversé le Sahara cinq fois en voiture et une fois à moto. C’est comme ça qu’il se ressource. Le père de Goran Pandev, ancien serveur aujourd’hui à la retraite, est venu chercher du travail au début des années 1980 à Stroumitsa, où l’on déguste, selon certains locaux, les meilleurs fruits et légumes de toute la Macédoine. Roberto Martinez assure que l’on a toujours besoin d’échecs et de déceptions pour s’améliorer. Comme tous les plus grands de ses compatriotes, Phil Foden est déjà passé par la fameuse case du grand n’importe quoi. Lorsqu’il partageait un appartement à Saint-Germain-enLaye avec Presnel Kimpembe, Kingsley Coman
cuisinait des pâtes, des cordons bleus et des nuggets. Isabel Bartal, sociologue lusitanosuisse, pense que les Portugais qui viennent en Suisse ont une mission précise. Mikel Oyarzabal
souligne qu’il n’y a rien de plus beau et de plus sain que de jouer au foot sur le bitume avec ses potes lorsqu’on est enfant. “Benzema est un révélateur à cons”, affirme Benoît Hamon. Spike Lee a décidé de mater la finale de l’Euro 2004 en terrasse d’un bar romain, maillot du Portugal sur les épaules. Bouli Lanners n’en a rien à foutre du principe de compétition, les césars, les Magritte et tout ça. Stacy Martin trouve que le jeu au pied de Lloris est très élégant.