Le million! Le million!
Une demi-idée, un peu d’aplomb et un solide carnet d’adresses… Pour lever des millions d’euros, voire quelques dizaines, il semble que cela suffise, à l’heure de la “start-up nation”. Pourquoi? Comment? Et surtout jusqu’à quand cela va-t-il durer? Plongée dans le monde des leveurs, des business angels et des VC.
Une idée de business, un(e) patron(ne) charismatique et du réseau: cela semble aujourd’hui suffisant pour que les millions tombent comme par magie des caisses de fonds d’investissement qui n’ont qu’une crainte, rater la start-up de demain. Pas forcément celle qui sera rentable, mais celle qui aura la croissance la plus exponentielle, celle qui permettra la plus belle culbute. Parce que le but n’est pas forcément de gagner de l’argent sur d’hypothétiques bénéfices, mais plutôt de revendre vite et cher, très cher. Un système malsain?