Society (France)

COURRIER DES LECTEURS

On a coutume de dire qu’il n’y a pas de mauvaise question. C’est faux. Nos experts vous livrent quand même leurs meilleures réponses.

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Oui bonjour,

en février je vous avais écrit parce que vous aviez fait revenir le Mister Frise sans prévenir, vous m’aviez prise de haute, pas de réponse claire et par la suite pas de Mister Frise dans votre magazine. Sauf que là, numéro 180, j’ouvre le magazine et qu’est-ce que je vois?? Un Mister Frise. Mais qu’est-ce que vous faites avec les Mister Frise ???? J’exige une réponse ou des sanctions. – Estelle (Cap-d’ail) Voudriez-vous vraiment, Estelle, que votre magazine chéri soit toujours convenu, sans ces petites surprises, bonnes ou mauvaises, qui font le sel de l’existence? Voudriezvo­us vraiment que l’on appelle chaque lecteur(ice) pour le/la prévenir du contenu éditorial du magazine et lui proposer une formation financée par son CPF? Non. Il faut un peu d’imprévu, dans la vie. Comme on dit: “La vie, c’est comme une boîte de chocolats: ceux au kirsch ne sont pas très bons.”

Hey,

je sors d’un déj avec un pote ostéopathe (diplômé) qui m’a glissé que d’après lui, le mal de dos était, je cite, le “mal du siècle”. Est-ce que ça pourrait vous intéresser pour un papier de fond sans concession? Je vous file le tuyau en premier parce que je vous aime bien. Avant que la concurrenc­e ne profite de cette bombe…

– Guilhem (Crèvecoeur-en-brie) Merci pour votre super courriel, Guilhem. Vous tombez dans le mille car nous sommes justement des passionnés de troubles de la personnali­té (psychopath­es, ostéopathe­s, naturopath­es...) Aucun problème, donc, pour lancer cette grande enquête sans concession –d’autant qu’on vous avoue que nous, la bagnole, c’est pas particuliè­rement notre truc!

Oh là là,

je sais pas comment vous trouvez autant de trucs à dire tous les quinze jours, moi je n’y arriverais pas, ça doit drôlement turbiner dans vos caboches, non?

– Madeleine (Vatan)

Merci Madeleine, mais franchemen­t, une fois qu’on a pris le coup de ne pas parler des vrais sujets, ça va tout seul! Et ça marche aussi pour le couple –si toutefois vous croyez au concept de couple, Madeleine.

Pour protester

contre votre refus de prendre mon grand fils en stage, j’ai décidé de ne plus rire à aucune des 100 raisons de votre torchon. Si vous pensez que je vais tenir deux numéros, vous me connaissez mal, parole de Breton. On fait moins les malins, hein?

– Pierrick (Saint-jacut-de-la-mer) Eh bien bon courage à vous, Pierrick, elles sont à hurler de rire (sauf une) !!!!

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