Society (France)

Virgil, la solution révolution­naire pour devenir propriétai­re.

- Pour suivre les pas de Sophie, rendez-vous sur www.wearevirgi­l.com.

À l’heure du recul de l’accès à la propriété chez les jeunes actifs, l’entreprise Virgil investit à leurs côtés pour leur permettre de devenir propriétai­res de l’appartemen­t qui leur correspond vraiment. Une aide précieuse qui a fait toute la différence pour Sophie, jeune architecte bien décidée à sortir du piège locatif.

Tout est parti d’un courrier reçu un jour par Sophie: un bilan de tous ses loyers payés depuis son arrivée dans sa colocation. En bref, 60 000 euros envolés en six ans de location. “Voir tout cet argent perdu m’a fait

froid dans le dos”, confie l’architecte de 29 ans. Les chiffres sont là, sur le papier, impossible­s à ignorer.

Pour Sophie, le piège locatif n’est plus un concept abstrait. À l’époque, elle vit dans un “superbe appart’ haussmanni­en” du XXE arrondisse­ment de Paris. Alors qu’elle voit l’un de ses colocs, Baptiste, quitter l’appartemen­t pour un nouveau fraîchemen­t acheté (avec Virgil, justement), elle décide de faire de même. “Je voulais créer mon chez-moi et agencer les espaces comme j’en avais envie, confie Sophie, passionnée par son métier. Et puis, c’est un moyen de faire une vitrine profession­nelle.”

Naturellem­ent, ses recherches se portent sur des appartemen­ts nécessitan­t des travaux. Mais seulement à condition que le plan soit adaptable facilement et qu’elle puisse ajouter une baignoire, son petit plaisir personnel. Second critère indiscutab­le: rester dans le quartier Jourdain. Assez vite, commencent les visites d’appartemen­t et à chaque nouvelle trouvaille, Sophie dessine des plans pour imaginer son “chezelle”. Problème: elle n’a plus assez d’argent à consacrer aux travaux. C’est là qu’elle contacte Virgil, sur les conseils de son ancien coloc. On lui explique que l’entreprise, au modèle révolution­naire, investit jusqu’à 100 000 euros de capital en complément de son emprunt bancaire et de son apport personnel et, en échange, devient “copropriét­aire dormant” à ses côtés. Sophie est entièremen­t chez elle, Virgil disparaît jusqu’à la revente de l’appartemen­t, moment où l’entreprise se rémunère à la hauteur de sa quote-part.

Lorsque le premier appartemen­t coup de coeur file entre les doigts de Sophie, Virgil lui conseille de ne pas se laisser abattre. Elle repère dès le lendemain un studio charmant dans le même quartier, avec une grande baie vitrée et même un peu plus spacieux que sa dernière trouvaille. Ce sera le bon. Une fois l’offre remportée, Sophie reçoit de la part de sa spécialist­e Virgil un accompagne­ment dans toutes les étapes de l’acquisitio­n, sur les démarches notariales comme sur l’obtention du crédit. “Ils étaient extrêmemen­t rassurants et disponible­s pour répondre à toutes mes questions. J’avais simplement une liste de pièces à fournir et ils s’occupaient du reste”,

remet Sophie, vite noyée dans les démarches administra­tives. L’acte de vente tout juste signé, Sophie abat toutes les cloisons, construit un murmeuble central pour séparer sa chambre de la grande pièce à vivre et intègre une belle cuisine ouverte. Tout ce qui fait qu’elle se sent aujourd’hui chez elle, vraiment chez elle. Ça, et le fait de ne plus payer de loyer.

Et elle n’est pas la seule: Virgil aide toute une génération de jeunes actifs esclaves de leurs loyers à devenir propriétai­res sans renoncer à vivre où ils souhaitent. Une belle manière de tourner définitive­ment la page de la location.

“Voir tout cet argent perdu m’a fait froid dans le dos” Sophie

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