COURRIER DES LECTEURS
On a coutume de dire qu’il n’y a pas de mauvaise question. C’est faux. Nos experts vous livrent quand même leurs meilleures réponses.
Alerte, la commu’! Mon projet humanitaire “Une Sieste Pour le Retour du Sommeil (USPRS)” est désormais tipable sur Tipee. L’ambition? Aller, pendant un an, faire la sieste dans plein de pays (Italie, Seychelles, Los Angeles…) pour dénoncer ce fléau qu’est l’insomnie (20% des humains touchés, 9% de façon aiguë!), le tout en documentant chaque action sur Tiktok. Possible d’en parler pour faire monter la cagnotte antiinsomnie? Merci pour eux! – Florian (Bouzillé)
Pardon Florian, mais on a piqué du nez après “humanitaire”, c’est tout nous! La prochaine fois, pensez peut-être à mettre les mots importants en couleur –un truc de neurosciences!
Hello les crypto-bobos fans de Bill Gates! Je dis ça, je dis rien, mais sur la quatrième du numéro 193, la montre est réglée sur 10h08 et 36 secondes. Comme par hasard! Vous pourriez m’expliquer pourquoi ça tombe pile 31 minutes et 52 secondes avant l’heure de naissance de Macron 1er?
– Pascal (Dieudonné)
Enfin! Enfin quelqu’un dont on peut dire qu’il lit vraiment le magazine. Qu’est-ce qu’être un(e) vrai(e) lecteur(trice)? Pour nous, c’est être acteur(trice) de ce qu’on lit: aller au-delà des mots, remettre en question, fact-checker les articles, aller sur place et pourquoi pas écrire l’article qu’on a envie de lire. Et éventuellement nous l’envoyer (on boucle un lundi sur deux).
Un mot de mon petit bout qui me dit qu’il adorait votre magazine parce que “c’est dar d’avoir un peu de réflexion ontologique sur le monde alors que dans Le Journal de Mickey, c’est juste des souris qui parlent”. Dingue, non? (il a sauté la moyenne section)
– Cindy (Villeperdue)
Bonjour Cindy, excuseznous de ne répondre que maintenant à votre courrier, lequel a dû se perdre dans les méandres de La Poste aux alentours de 2005-06 si on en juge à l’expression utilisée par votre fils –lequel doit désormais être père de famille. Nous allons faire remonter la doléance à qui de droit, soyezen sûre, de tels errements sont inexcusables.