Technikart

J'AI TESTÉ

L’A8 55 TFSI 340 CH

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— LE STYLE

Fidèle aux standards de la marque, on retrouve une calandre single-frame modifiée autour d’optiques Matrix LED. L’arrière, en revanche, adopte des optiques reliées par une ligne de chrome.

— L’INTÉRIEUR

Luxe, confort et haute technologi­e sont les trois mots qui viennent à l’esprit quand on se met au volant. Presque tout est tactile grâce à un double écran, dont l’utilisatio­n est proche d’un smartphone dernier cri, avec une commande vocale qui intègre de l’intelligen­ce artificiel­le. On note aussi de la place partout, et des sièges chauffants et massants.

— LA CONDUITE

Faite pour le niveau 3, donc pour une conduite autonome (lire interview), on a l’impression de conduire un tapis volant, d’autant plus grâce à la suspension active qui gère chaque roue et permet de prendre les virages bien à plat et d’absorber toutes les imperfecti­ons de la route. L’insonorisa­tion est d’un niveau rarement atteint. Pour les fainéants, l’A8 peut se garer toute seule et même entrer et sortir d’un garage sans interventi­on du conducteur. Du James Bond de série grâce à ses caméras et radars.

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