GRAYSON PERRY À LA MONNAIE
Lors de ses vernissages, il aime à se grimer en poupée
oversized perruquée de rose tagada. Celui qui rend les arts déco subversifs (il faut quand même le faire !) se penche, le temps d’un automne, sur son côté obscur : l’adolescence, la masculinité, la vanité. La preuve que « l’on peut être séduit par ce qui est dérangeant ».