CHRISTOPHE MONTENEZ
30 ANS
HABITUÉ DES PLANCHES, L’ACTEUR FAIT SES PREMIERS PAS SUR UN PLATEAU AVEC LE RETOUR DU HÉROS DE LAURENT TIRARD.
PENSIONNAIRE À LA COMÉDIE FRANÇAISE, TU T’ATTAQUES AU CINÉMA. BILAN ?
Je suis rentré dans cette grande maison et je m’y épanouis pleinement. C’est chronophage, énergivore, addictif, mais à la fois grisant et flippant ! Le cinéma c’est encore tout nouveau.
AU THÉÂTRE IL Y A
UNE PRISE DE RISQUE PERMANENTE. LE STRESS EST ENCORE LÀ ? Aujourd’hui, à force de jouer, il y a quelque chose d’artisanal. Avant je sacralisais le plateau, maintenant c’est devenu «mécanique».
AU CINÉMA, UN PERSONNAGE QUE TU AIMERAIS INTERPRÉTER ? Je suis à fond dans les personnages fantastiques, genre le méchant dans Stranger Things.
RÔLE COMIQUE OU DRAMATIQUE ?
Je découvre le registre comique. Je quitte l’emploi du jeune homme névrotique, complexe. Dans la pièce La nuit des rois de Shakespeare, je prends plaisir à développer d’autres cordes !