Addiction quand tu nous tiens.
Fin de partie pour les psychotropes. On encense la religieuse au café et l'éclair au chocolat en lieu et place de certains produits à effet et expérience « out of control ».
La pâtisserie se présente désormais comme un plaisir solitaire. Une petite gâterie contemporaine avec cette forme d'irrésistibilité qui fait qu'on y céderait au toujours comme à un bon coup ou retour d'une ex empreint d'une certaine religieuse nostalgie. Un éclair au chocolat, une autant au café, un flanc nature serait de prétextes à rêverie. La pâtisserie est réifiée dans les colonnes des magazines comme un de ces petits plaisirs récurrents de nécessaires pour compenser le nombre fois où, dans cette vie, nous mangeons notre pain d'affliction. La pâtisserie deviendrait un plaisir coupable, une anodine mais addictive jouissance orale. Comme Freud n'est jamais loin avec ses explications immanquablement tournées sur le sexe, disons-le de manière freudienne. La pâtisserie serait donc de l'ordre du jouir. Pour autant, ce n'est tout de même pas régresser au niveau bestial que de s'offrir un flan nature, même si certains cherchent de profondes extases avec ça ou une religieuse au café. Si Freud considérait le sexe comme la « jouissance suprême » qui structurait toutes les autres, alors la pâtisserie serait quant à elle un substitut particulier plus abordable, une « jouissance partielle » dont la plupart on se contenterait imprévus du temps, n'ayant ou les pas les d'une vraie complications relation possibles gros côté sexuelle.
« psy » Il y aurait un dans la pâtisserie contemporaine. Notamment
Cake avec cette vogue Design ou encore du qui la pâtisserie semble parfois enchantée monstrueuse légèrement avec son décor fée mélangé de conte à de la crème de pâtissières-conteuses Chantilly.
Des gâteaux créent en à l'univers effet des un peu dingue, que les gâteaux considérant ennuyeux. ordinaires
Il semble sont trop que ce soit les affectionnant dames aussi une certaine avec des histoires littérature de prince charmant ou un goût pour le déviant norvégien qui polar morbide confectionnent les pâtisseries les aujourd'hui de leur plus délirantes cuisine du fond langues suréquipée.
Des mauvaises affirment que sucré et vaguement c'est parfois trop écoeurant dès bouchée. Peut-être la première de cette pâtisserie que la finalité bonne ne serait pas que de combler tant d'être un gros vide
Une simple sentimental. dans ce addiction roman ? Comme très
Bender, La imaginatif
Singulière d'Aimee citron (Points). tristesse du
Dans gâteau au de ce livre, gâteau chaque bouchée les avalée permet pensées secrètes de connaitre ou celle ou qui étranges de l'a cuisiné. celui
RONAN
CHASTELLIER