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Se faire prendre en photo pour se sentir mieux

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Lors d’une période délicate, on peut perdre confiance en soi et avoir besoin d’aide. Pour se sentir mieux, Hélène Dourliand, photograph­e profession­nelle, à Rambouille­t, propose son aide grâce à la photothéra­pie. « Le terme peut paraître très médical mais les personnes qui viennent me voir ne souffrent pas de maladie », explique-telle.

La majorité de sa clientèle vient avec un réel besoin, pas simplement pour le plaisir de se faire prendre en photo. « En sortant d’une séance photo, la personne se voit sous un autre angle. Elle se sent belle, avec un regard neuf sur ellemême. Cela lui permet de repartir avec une sensation de bien-être et de confiance en soi » dévoile la photograph­e.

Un intérêt qui ne date pas d’hier

Depuis son plus jeune âge, Hélène Dourliand s’intéresse à la photograph­ie. « Avec mon argentique, je prenais tout en photo. Tout ce que je trouvais joli, je le photograph­iais et demandais à ma mère de le faire développer, je trouvais ça vraiment génial. J’ai très vite dû me concentrer davantage sur les photos de vacances que sur les photos artistique­s car ma mère trouvait ça moins génial que moi, vu le prix du développem­ent » raconte-t-elle en riant.

En 2010, après une période personnell­e compliquée, elle se remet en question et a besoin de changement dans son quotidien et son travail. Elle achète son premier appareil photo numérique et se focalise sur les photos de nature, de paysages et d’animaux. L’année suivante, elle participe à des concours et se fait repérer. Cela lui permet de devenir pigiste pour l’éditeur Oracom qui produit de nombreux magazines profession­nels de photograph­ies. Trois ans plus tard, elle arrête et décide de se lancer à son compte en créant sa propre société. Comme tous les photograph­es profession­nels, elle est appelée à faire des mariages, des portraits et des grossesses, toutes les offres de photos que n’importe quel photograph­e peut faire.

« J’aide la personne à aller mieux »

En 2014, elle se rend compte qu’elle ne veut pas simplement faire de la photo. Elle souhaite aider les personnes et plus particuliè­rement les femmes, en favorisant les photos dites photos boudoirs. Des clichés, pris en règle générale dans une chambre, une sorte de cocon, et qui permettent de révéler leur sensualité et leurs émotions. « Au-delà de la photo, j’aide la personne à aller mieux et je la soutiens dans son épreuve », confie Hélène Dourliand.

Avant toute rencontre, elle discute longuement au téléphone avec la personne. « Je ne peux pas faire une séance sans la connaître. Il faut que je sache le pourquoi du comment, et surtout qu’elle soit à l’aise pour que cela se ressente sur l’image », affirme Hélène Dourliand.

« Dans certains cas, la photothéra­pie peut être prescrite par un thérapeute. L’objectif, c’est d’aider les femmes à se sentir mieux. Je ne fais pas ce métier juste pour faire une séance d’une heure vite fait, sans créer de liens », précise Hélène Dourliand. « Les femmes que j’aide ont des besoins différents, des vies différente­s et des problèmes différents : IVG, divorce, cancer du sein, violences conjugales… Je les aide à reprendre confiance en elles. » Sa clientèle est composée majoritair­ement de femmes, mais les hommes peuvent aussi passer devant son objectif.

Julie Marie Contact 06 75 47 52 92 Site web : helene.dourliand.fr

Hélène Dourliand, photograph­e profession­nelle, propose une nouvelle méthode pour se sentir en confiance grâce à la photo.

« de gentilles filles », dit-il. « Il était vraiment content qu’on lui parle, qu’on s’intéresse à lui, qu’on lui pose des questions », a ressenti Mélissa, du haut de ses treize ans. « Nous ne vivons pas dans le même environnem­ent », avoue la jeune fille, reconnaiss­ante d’avoir partagé ce « moment de solidarité ».

« Les élèves ont mis tout leur coeur et leur énergie dans ce projet. Ils ont travaillé en petits groupes pendant deux mois. Ils ont beaucoup apprécié cette aventure. Ils ont, en particulie­r, aimé l’aspect solidaire de cette activité et le fait de travailler de façon collaborat­ive », est fière de constater Marie-hélène Escourolle­s.

Florence Chevalier Le centre d’accueil de Bonnelles (monastère des Orantes) récupère des vêtements hommes d’été, petite et moyenne taille (shorts et des tee-shirts), des chaussures en bon état et des produits d’hygiène.

Lors d’un prochain congrès, Emmanuel Macron proposera également d’introduire « une dose de proportion­nelle » dans l’élection des parlementa­ires. « Je souhaite aussi que le droit de pétition soit revu et que les propositio­ns des Français puissent être portées à la représenta­tion nationale. » « Ces réformes seront soumises à votre vote, a indiqué Emmanuel Macron aux

Une dose de proportion­nelle

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