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Un casque de vélo connecté distribué par une société verriérois­e Un minibus financé par la publicité

- Nicolas Giorgi

Pédaler en toute sécurité tout en poursuivan­t sa conversati­on sur son smartphone ne relève plus de l’utopie. C’est lors du salon Roc d’azur,grand rendezvous mondial du VTT, début octobre à Fréjus (Var), que David Zieglmeier a présenté sa dernière trouvaille.

Un nouveau modèle avec caméra intégrée

Le dirigeant d’european Trading Company (ETC), une société verriérois­e installée dans le bâtiment Le Colbert, est le distribute­ur exclusif d’un nouveau casque de vélo connecté.

« Ça a quand même fait le buzz », se réjouit le dirigeant. Il faut dire que ce nouveau produit, fabriqué par Sena, une entreprise américano-coréenne spécialisé­e dans la communicat­ion Bluetooth, ne manque pas d’atouts. La particular­ité de ce casque citadin, c’est qu’il fait aussi interphone. « On peut donc communique­r avec toute sa famille à 900 m à la ronde », explique David.

Une applicatio­n sur smartphone permet même aux cyclistes plus éloignés de continuer à discuter entre eux via un groupe de discussion privé.

Equipé d’un micro qui filtre les bruits parasites, ce casque homologué permet aussi d’écouter de la musique en toute sécurité puisqu’une radio y est intégrée, gérable grâce à une petite télécomman­de directemen­t reliée au guidon.

Vendu 249 euros l’unité, il est disponible sur quelques grandes plateforme­s de vente en ligne comme Amazon, Cdiscount ou Alltricks.

« On s’adresse à une clientèle qui recherche ce type de technologi­e un peu hightech », confie David.

Un nouveau modèle disposant d’une caméra, vendu 399 euros, sera, lui, disponible dans quelques jours.

Les images ainsi captées seront visibles sur votre téléphone grâce à une connexion wifi. « Cet appareil dispose d’un mode de prise de vue permanent, avec une mémoire tampon de 10 mn », précise le dirigeant D’ETC. Pratique pour immortalis­er ses exploits ou en cas de litige lors d’un accident.

Un minibus pour transporte­r les jeunes de deux structures jeunesse de Maurepas, le Mille-club et le Tridim, a été mis à dispositio­n de la Ville pour une durée de trois ans.

Petite particular­ité de ce bus : il est intégralem­ent financé par la publicité grâce au partenaria­t engagé avec la société Visiocom.

Les élus, le maire Grégory Garestier (LR) en tête, se sont vu remettre les clés du Renault Trafic le 16 octobre dernier, sur la place Charles-de-gaulle.

Sur le véhicule, les commeres locaux du centre-ville, tels qu’eva coiffure ou encore la pizzeria Vitigno, sont particuliè­rement valorisés. En tout, dix annonceurs figurent sur sa carrosseri­e.

Un précédent véhicule, financé selon le même principe, avait déjà été mis à dispositio­n du service petite enfance.

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