Toutes les Nouvelles (Versailles / Saint-Quentin-en-Yvelines)
Emily fabrique des savons naturels
Cette année, la municipalité de La Verrière a changé le lieu du marché de Noël solidaire et choisit d’ouvrir l’hôtel de ville le temps d’un samedi après-midi. Ce lieu central n’est pas pour déplaire à la maire Nelly Dutu (PCF) qui voit la mairie comme « la maison du peuple. Elle ne sert pas qu’aux démarches administratives. C’est un lieu complètement central et un symbole ». Thierry Quintavalle, chargé de mission à la vie locale et associative, abonde dans ce sens et ajoute que « la mairie est emblématique. C’est l’occasion de la faire découvrir ».
Les visiteurs ont ainsi pu découvrir les projets des associations autour de la solidarité. « On n’invite que des associations locales qui défendent des projets solidaires, de coopération. Nous voulons que les gens prennent connaissance du fait que chaque association porte un projet », analyse le chargé de mission.
Parmi les associations présentes, les visiteurs ont pu faire connaissance avec Emily Quentin. Avec l’aide de l’association Dédale, cette jeune femme crée des savons respectueux de l’environnement et du bien-être des utilisateurs. Emily vient de finir sa thèse en neurosciences et va lancer en janvier 2018 sa propre entreprise spécialisée dans la fabrication de savons avec des produits naturels tels que l’huile d’olive ou de la baie de laurier. Elle avait débuté en en fabriquant pour sa famille et ses amis. « L’objectif est d’être indépendante. J’ai envie de sensibiliser les gens sur les produits éthiques, bio et locaux. J’ai envie de me rendre utile. Autant faire quelque chose qui me plaît et d’éthique », raconte Emily, qui travaille avec ses soeurs, Clémentine et Pauline, pour le design et le packaging.
■PRATIQUE Emily Quentin : azegaga@gmail.com ou 06 30 75 15 60.
Les acquéreurs dénoncent, entre autres choses, des malfaçons dans leurs logements. « On nous a vendu des maisons de standing avec un label qualité, un terrain engazonné et entièrement clos. Or, la porte est voilée, les bandeaux sous toiture ne sont pas calfeutrés. C’est du bricolage », dénonce Isabelle, propriétaire de l’un des pavillons concernés. Une maison de 122 m2 achetée 510 000 euros sur plan et livrée en janvier
« Le jardin, c’est Beyrouth ! »