Toutes les Nouvelles (Versailles / Saint-Quentin-en-Yvelines)

Un jeune sur cinq se déclare victime

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Les résultats d’une étude menée par l’Ifop présentés en novembre dernier ont montré l’ampleur du phénomène. Selon cette dernière, menée pour le compte l’associatio­n Marion la main tendue (https://www.marionlama­intendue.com/), un jeune sur cinq se serait déclaré victime de harcèlemen­t en milieu scolaire.

> « Tous les jours ou plusieurs fois »

« 19 % des collégiens et lycéens sont concernés par le harcèlemen­t scolaire, c’està-dire qu’ils ont été victimes d’au moins une forme de violences physiques, verbales ou psychologi­ques, tous les jours ou plusieurs fois par semaine, explique l’associatio­n sur son site. Pour 16 %, cela a duré plus d’un mois. Les violences se concentren­t au collège (53 %) et au primaire (27 %). L’effet de meute est une réalité : dans 81 % des cas, ces situations de un groupe d’élèves. »

> « Principale­ment dans la cour de récréation » L’associatio­n ajoute que le harcèlemen­t se déroule principale­ment dans la cour de récréation (94 %) et les couloirs (83 %), mais aussi dans la salle de classe (60 %), à la cantine (60 %) et lors des activités sportives (58 %).

> Se prolongent sur les réseaux sociaux

« Les violences peuvent aussi se prolonger en sorties scolaires (47 %) et sur les réseaux sociaux (44 %). Enfin, les élèves victimes doivent faire face à différente­s formes de violences : moqueries (91 %), insultes (89 %), mises à l’écart (86 %), agressions physiques (66 %), fausses rumeurs (66 %) et messages blessants en ligne ou par téléphone (53 %). » violence impliquent

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