L’ADN monospace
Le choix du Citroën SpaceTourer, avec convertibilité envisageable afin de devenir un van familial à sept places route, procure au Campster son caractère très automobile. Et c’est encore plus vrai avec son « descendant », le Vanster, plus sommaire dans son aménagement et finalement encore plus polyvalent.
En attendant, sans doute pour le premier 2021, une nouvelle proposition sur porteur Mercedes, le Campster poursuit sa route en France sur le seul Citroën SpaceTourer (4,95 m) avec le concept de van multifonction qu’il défend depuis toujours : monospace familial capable de proposer jusqu’à sept places (en retirant le bloc-cuisine), et en même temps, « camper » aménagé avec rangements, cuisine, couchage double à déployer en bas et autre lit double logé dans le toit relevable. Cette saison, il revoit sa politique tarifaire à la hausse, pour inclure, au final, des équipements qui figuraient auparavant parmi les options et qui étaient systématiquement retenus par les clients. Le modèle BlueHDI 120 ch ouvre donc le catalogue à partir de 45999 €, le 150 ch grimpe à 47499 € et le 180 ch BVA à 50 799 €. C’est environ 2 500 € de plus qu’avant, ce qui correspond à la valeur des équipements désormais de série: rétros électriques, sièges chauffants à l’avant, radar de recul, système audio, portes coulissantes manuelles des deux côtés, et jantes alu de 17 pouces. La carrosserie de couleur est facturée 770 €, et le toit dans la même couleur (blanc d’origine) à 1 090 €.
Le Vanster, lui, déclinaison du Campster mais sans rangement fixe ni grand bloccuisine sur le côté, reste encore plus un grand monospace. Un véhicule à toit relevable homologué VASP grâce à son réchaud escamotable dans le flanc gauche (accessible dans le coffre), que vous pouvez, ou pas, aussi enrichir de la « Campbox » arrière (+ 2 201 € pour les fonctionnalités cuisine, ou + 2751 € avec lit additionnel). Hors options, sur SpaceTourer, le Vanster s’affiche aujourd’hui à 37 599 € en 120 ch, ou 39 199 € en 150 ch. ◆