Photocall
Véronique Leroy tient la pose dans le Photomaton de Karl Lagerfeld.
Une fois passé son défilé et la Fashion Week de septembre, la créatrice belge a besoin de dix jours, ni plus ni moins, pour faire redescendre la pression. Le rendez-vous pour la photo est donc fixé le 11 octobre, tout pile. En plus de ses collections, cette grande perfectionniste, formée par à comprendre le corps et l’archi
Azzedine Alaïa tecture d’un vêtement, signe cet hiver une ligne de maillots de bain avec Eres. « J’ai aimé retrouver la même exigence que celle que je m’impose dans mes ateliers », explique
Vé. Son inspiration pour cette capsule croisière ? ronique Leroy « Une tribu de copines à la plage. Tout est parti d’une photo de Helmut Newton des années 1970. L’escapade entre filles que j’ai imaginée se métamorphose en un vestiaire utile et ludique. Chaque élément peut être employé de deux manières différentes : le sac éponge se transforme en coussin, la serviette en paréo et le maillot avec jupe se portent aussi bien au bord de l’eau qu’en ville. » Le résultat ? Un juste équilibre entre l’univers Véronique Leroy et celui d’Eres, sans que toutefois l’un empiète sur l’autre. Après quatre coups de flash dans le photomaton, traditionnel passage dans la librairie 7L. Le choix de la créatrice se porte sur deux ouvrages aux antipodes l’un de l’autre. Le premier, Paris capitale underground, est un recueil de photos de , figure des nuits parisiennes
Jean-Claude Lagrèze des années 1980. Le frère de ce dernier a supervisé le livre et, coïncidence, travaillé sur l’éclairage des premiers shows de Véronique Leroy. Et parce que celle- ci adore le marbre, sa texture et sa naturalité, elle embarque aussi Identification des marbres de . Entre nuits chaudes et roche
Jacques Dubarry de Lassale froide, VL ne tranche pas. —