Var-Matin (Brignoles / Le Luc / Saint-Maximin)
Brigitte dans le texte : florilège
« Je saurai que je suis une bonne comédienne quand on me fera tourner habillée !» (1962).
« Je crois que j’ai raté ma vie. Je n’aurais pas dû faire de cinéma » (1994).
Sur les César : « L’illustration médiocre d’une corporation. Une remise de prix dans une école publique » (1984).
« J’ai choisi mes films comme mes amants, sans faire de sélection, à la « vacomme-j’te-pousse. »
« Je ne suis pas si jolie que ça. J’ai souvent l’air d’un pékinois enrhumé » (1958).
« Je suis bio de la tête aux pieds : jamais trafiquée, aucune chirurgie ! » (2009).
Sur la chirurgie esthétique : « Je trouve dommage que tout le monde ait la bouche en rebord de pot de chambre !» (2005).
Sur sa vie à Saint-Tropez : « On dirait Bécassine au milieu de sa ferme » (1988).
Aux chasseurs : « Vous êtes nés comme ça ou vous avez pris des cours de connerie ? » (1992).
Sur les hommages : « Tout le monde m’aimait... Oui, mais tout le monde, c’est personne ! » (1999)
Sur Sacha Distel : « Je l’accueillais à draps ouverts » (1996).
« Maintenant, je suis végétarienne, je bouffe plus les hommes ! » (1996).
Sur la fourrure : « Le cinéma fait son festival de Cannes et la mode fait son festival de connes » (2013).
« J’aime la campagne. Ce ne sont pas les vaches qui vont me demander un autographe » (1975).
« La célébrité, ça dure six mois, un an au maximum. Après on en a marre. Ou alors c’est qu’on est con ! » (1982).
«Je suis française jusqu’au bout du troufignard » (2003).
« Le mariage ? Une merveilleuse institution qui sert à partager à deux les problèmes qu’on n’aurait jamais eus si on était resté seul ! » (1993).
« Des lettres enflammées, j’en ai reçues à l’époque où j’étais inflammable ! » (2004).
Sur les phoques en aphrodisiaque : « On va pas continuer à faire un génocide animalier comme ça pour faire bander les Chinois » (2006).