Indice des retraites gelé: «Pas définif»

Un jeune retraité s’est ému de la promesse du candidat Macron de ne pas augmenter la CSG, exprimée « en  » et ensuite « non tenue une fois élu ». -« S’il l’a dit en , réplique Mme Mauborgne, il s’est contredit en   car dans le programme que j’ai défendu, c’était inscrit noir sur blanc. Sur l’indice de progression des retraites, oui, là, on est d’accord. On n’a pas dit que c’était définitif. On ne peut pas tout faire en même temps. Pour l’instant, on baisse l’endettement. J’espère que d’ici deux à trois ans, on pourra prendre une décision inverse. » Et de concéder : « Passer d’un revenu d’actif à celui de retraité, c’est difficile pour tout le monde et ce n’est pas les , % qui feront la différence ». La CSG sert depuis un an à financer l’assurance-chômage. Pourquoi ? « Parce que l’assurance-chômage telle qu’elle est gérée n’est pas efficace. Il y a des gens qui ont le droit d’être au chômage (et je ne tire pas sur les chômeurs). J’irai même plus loin : quand on est cadre et qu’on a cotisé pour cette assurance (car c’est une assurance), je ne veux pas qu’on abaisse le niveau d’imposition actuel des cadres. Ils ont un niveau de vie, des emprunts et il faut y faire face. » Un plan de formation important se met en place (la Région devrait mettre  M€ et l’État  M€ cette année), « car dans les métiers de demain,  % n’existent pas encore, et  à  % vont disparaître. Il faut réformer l’assurance chômage pour obliger les chômeurs à se former et répondre aux besoins de ceux qui ont un travail mais qui ne les satisfait pas ».