Gonfaron

On ne dira jamais assez l’importance de consommer local ! Une nouvelle preuve a encore été offerte avec Why note, venu en voisin des Mayons. L’orchestre connu et plébiscité pour sa maîtrise, son engouement joyeux, sa complicité sur scène et avec le public, a rameuté des terrasses pleines à craquer et fait regretter de ne pouvoir danser sous les étoiles. Mais les conditions sanitaires prévalaient. Pop, funk, jazzy, rock… le quatuor a offert une vraie fête plurielle. Juliette, la chanteuse emblématique,

Bruno, le papa bassiste, Cyril aux percussions, Jérôme, guitare et clavier, et même Fabien, qui a partagé le micro avec sa soeur avec une évidente gourmandise, n’ont malheureusement pas encore de date à annoncer en Coeur du Var ou ailleurs. Cette soirée était organisée par le pôle festivités.

(Texte et photo M. L.)

Dire qu’il est connu comme le loup blanc serait un euphémisme. Atmen Madjri est en effet policier municipal depuis près de vingt ans, dans la commune qui l’avait accueilli à l’âge de  ans, avec sa famille. L’objectif de la municipalité d’alors était de renforcer la sécurité et de fonder le premier acte de la professionnalisation de la police municipale. Atmen Madjri incarnera donc cette politique, après avoir réussi le concours de  aux premières places parmi plus de   prétendants et avoir été recruté à Cannes. À quelques jours de la retraite de ce brigadier-chef principal, incarnant la probité et le dialogue, la prévention, la disponibilité et l’humanité dans sa mission quotidienne, il a été décoré. En l’occurrence, pour sa constance en tant que porte-drapeau de la commune. Le maire, Thierry Bongiorno, au tout début de la célébration singulière du -Juillet, lui a épinglé sa décoration au nom de la ministre des Armées, et Tayeb Guellati, président de la fédération des Harkis du Var, lui a remis son diplôme. Une nouvelle source de fierté pour Nadia, l’épouse du récipiendaire, Joris et Florian, leurs deux fils. (Texte et photo M. L.)