Un Tour taillé pour les grimpeurs ?

Un seul chrono de  km (avec la Planche des BellesFilles) situé l’avant-dernier jour, tous les massifs français traversés (par ordre chronologique : Alpes du Sud, Cévennes, Pyrénées, Massif central, Jura, Alpes du Nord et Vosges) : le parcours de cette Grande Boucle semble taillé pour un grimpeur. Mais la grande attraction du parcours  se nomme le col de la Loze. Une route inédite sur le Tour, seulement ouverte aux piétons et aux cyclistes, inaugurée et goudronnée il y a un an. Placés au-dessus de Méribel, les - derniers kilomètres sont « une succession de ruptures de pentes, toutes plus brutales les unes que les autres », assure Christian Prudhomme, le directeur du Tour. Le bitume a été posé à même un chemin forestier et cela donne une topographie folle. De plus, la ligne d’arrivée, située à   m, sera le « toit » de ce Tour. Tout ne sera pas simple pour autant pour les grimpeurs : ces derniers redouteront sûrement l’étape côtière entre les îles d’Oléron et de Ré.

(Photos Méribel et ASO) Le  août , le col de la Loze avait été baptisé par le Tour de l’Avenir. Le test jugé concluant sera cette fois renouvelé avec le peloton du Tour de France. Cette route irrégulière, avec des passages à  %, offrant des panoramas majestueux, sera la grande curiosité de ce Tour. Rendez-vous le  septembre (e étape).

e étape : départ du château d’Oléron, arrivée à Saint-Martinde-Ré (en photo le pont de l’île de Ré) : une étape piège.