Arrêter la viande, un combat « Naturalien »

Après 15 ans de conviction et 3 ans de recherche, celui qui se fait appeler « Amon Kand’Orht » n’a pas écrit « Naturalien » pour convaincre. Il veut ouvrir la réflexion et donner des arguments à ceux qui refusent de consommer de la viande, dissociant le naturalisme du veganisme.

Pour ce quatrième livre et premier essai, ce professeur d’art, ancien militaire, a choisi la transparence : chaque affirmation est sourcée, les messages sont sans ambiguïté, intransigeants, à la hauteur de l’importance qu’il accorde à sa conviction : « la consommation de viande est une aberration pour le corps humain comme pour l’écologie ». Rappelant la définition de la nécrophagie, citant des entreprises condamnées pour leurs méfaits, contrecarrant les arguments de chasseurs, évoquant même les problématiques des voitures électriques, l’auteur est incisif.

Dans un style très abordable, en évoquant son expérience, il explique son choix « logique » : « il ne se sent pas supérieur aux autres parce qu’il est naturalien. Il est naturalien parce qu’il ne se sent pas supérieur aux autres, humains ou animaux ».

La couverture du livre est tout aussi engagée, avec La Liberté guidant le peuple,

portant un drapeau modifié, une idée originale de l’artiste, qui ne laisse aucun doute sur ses ambitions : « il faut accélérer la prise de conscience, expliquer cette nécessité, faire tomber les préjugés, ne plus laisser la place à l’hypocrisie. »

Son ouvrage est disponible en librairie, sur les plateformes ou encore sur le site Rakuten, cette dernière option vous permettant de l’obtenir dédicacé sans surcoût.

(Photo B. G.-C.) « Amon Kand’Orht ».